Comment éviter l’accident en wing foil ?

Vous sentez cette pulsion dès que le vent se lève et que l’eau scintille, cette envie irrépressible d’aller rider et de voler littéralement au-dessus des flots ? On se comprend. Le wing foil, on en rêve la nuit et on en parle la journée… Mais on a aussi tous cette petite voix dans un coin de la tête, celle qui se demande, “Et si aujourd’hui, c’était la session de trop ?” Rassurez-vous, on est dans la même galère (plein de sel et de sable), et franchement, un accident bête, on s’en passerait bien, non ? Alors, comment garder le smile tout en repoussant le spectre des bobos ? On a compilé nos astuces, nos coups de flip’, nos discussions sur la plage… et on vous livre tout ! Prêts à rider tranquille ensemble ?

Mais pourquoi parle-t-on tant d’accidents dans le wing foil ?

Le wing foil, c’est l’aventure XXL qui fédère autour d’un même spot des fous de glisse, des curieux un peu hésitants, des anciens windsurfers reconvertis, et même votre cousine qui a juste trouvé ça joli sur Insta. On se croise, on s’aide, on apprend… et parfois, on fait n’importe quoi, surtout au début. Vous aussi, votre première fois avec une aile gonflable vous a paru impossible ? Et pourtant, on persévère ! Bon il existe aussi des bonnes idées comme prendre un stage recommandé de wing foil mais on sait qu’à la moindre inattention, le plan de ride peut virer à la tuile. Le conseil qu’on donne depuis nos nombreuses gamelles ? Prendre un stage, oui, même si on trouve ça “pour les autres”. Après une session encadrée, on a carrément vu la différence.

Quels sont les risques spécifiques qui nous concernent tous, débutants et confirmés ?

Entre ceux qui n’osent pas quitter le bord et ceux qui veulent battre leur record de vitesse en zigzaguant entre les planches, tout le monde, à un moment, s’est dit “Je vais le sentir passer”. Le vent qui joue à cache-cache, le foil qui gigote sans prévenir, la sensation bizarre quand l’aile décroche, l’enchaînement s’écrit vite si on ne garde pas les yeux grands ouverts. Ajoutez à ça la densité de riders un jour de vent, et bim ! On anticipe une collision, un vol plané, ou cette vieille douleur qui revient dès qu’on pose le pied sur la plage. On l’avoue, nous, on a déjà fini la session avec une aile à moitié dégonflée, les bras en compote, et un genou en écharpe, juste parce qu’on était pressés de remonter sur la planche. Et vous, vous aussi, vous avez tenté de ranger votre foil pieds nus pendant que le vent continuait de siffler ?

Qu’est-ce qui rend le wing foil aussi piégeur selon vous ?

L’appareil en mains, on se sent vite invincible… et c’est là qu’on fait les plus belles bêtises ! Les novices s’emmêlent dans la toile (ça arrive à tout le monde, non ?), les confirmés tentent la manœuvre improbable, les “occasionnels” oublient les bases dès qu’une rafale inattendue leur chatouille les oreilles. On rêve tous du perfect ride sur une eau bleue miroir, mais la réalité, c’est que la météo peut basculer fissa, et que même un rider chevronné peut oublier de checker un détail crucial. La meilleure anecdote entendue : un copain, trop focus sur ses nouveaux tricks, a oublié de fermer son leash. Résultat ? Planche à la dérive, nage punitive et… fou rire général (après coup, hein !).

Quels bobos doit-on craindre, à l’eau ou sur le sable ?

Franchement, on aimerait tous vous dire qu’on termine chaque session sans une égratignure, mais si vous ne connaissez pas un rider avec une petite collection de cicatrices, c’est que vous n’écoutez pas assez les discussions post-session ! L’eau, c’est la promesse d’un atterrissage en douceur… sauf contre un foil bien tranchant ou votre propre planche qui décide de se rebeller. Sur le sable, on a tous un pote qui s’est explosé l’orteil sur le foil mal rangé ou qui a vu son aile s’envoler, direction la tête du voisin. D’ailleurs, qui n’a pas déjà rattrapé une aile “sauvage” à la course ?

Comment nos choix de matos changent-ils la donne question sécurité ?

Le wing foil, ce n’est pas que show-off et photos stylées, c’est aussi toute une petite routine matos. On a ri, nous, en découvrant que “choisir son casque” allait nous sauver la mise plus d’une fois. Et franchement, mettre le prix dans un bon leash, ce n’est pas “optionnel”. Personne n’a envie de lever la main pour dire “J’ai perdu ma planche”. Même les plus aguerris repassent par la case checklist avant de se jeter à l’eau. D’ailleurs, savez-vous combien d’entre nous se sont retrouvés frigorifiés juste parce qu’ils avaient sous-estimé la température de l’eau ? Avouez, vous aussi avez déjà tremblé comme une feuille à la pause sandwich.

• Le casque dont vous êtes fiers, et que vous ne prêtez jamais
• Le leash qui ne rompt pas sous la pression (ni sous l’effet wahou)
• Une bonne combinaison intégrale, même en juillet, parce que le vent, lui, ne bronze pas
• Des protections pour votre foil, à embarquer du coffre à l’eau, parce qu’on aime tous nos orteils

Comment vraiment choisir le bon matos selon où l’on en est ?

On va être francs, débuter sans matos adapté, c’est un peu se jeter sur la piste noire dès la première fois au ski. On en rigole… jusqu’à la première boîte ! Nous, on prêche pour le mix planche large (ça pardonne tellement d’erreurs), aile bien stable et foil raisonnable. Après, on évolue, on affine, on se lance des défis. Mais on n’a jamais rencontré un rider expérimenté qui renie l’utilité d’un bon gilet flottant ou d’un leash bien costaud. Votre combo idéal, vous l’avez déjà trouvé ou vous en testez encore chaque été ? Nous, on continue de discuter et d’échanger les bons plans entre deux sessions venteuses.

Et nos blessures favorites, on en parle ?

Ça va vous parler, ces bobos qui font de nous des pros de la petite pharmacie embarquée ! À chaque chute, on se dit “Pourquoi j’ai pris cette vague, déjà ?” Mais avec le temps, on sait repérer les signaux, partager nos histoires et surtout, anticiper chaque micro risque. Vous reconnaissez-vous dans l’une de ces situations ?

“S’arrêter cinq minutes pour vérifier son matériel ou sa forme, ça nous a déjà évité des dizaines de galères. Le plaisir dure, la frustration d’un bobo s’évapore !” 

On fait quoi, alors, pour garantir le ride le plus safe du spot ?

Il y a les règles affichées, les avertissements du vieux loup du spot, et notre bon vieux bon sens. On ne fanfaronne pas, on ne tente pas la perf’ dans le doute. Se donner deux minutes pour checker météo, matos, échange de signaux, ça sauve plus que nos planches. Et pourquoi ne pas informer les copains de nos horaires de session ? On l’a tous fait, ce petit message “Je pars rider, si tu n’as pas de nouvelles à 17h… préviens la SNSM !”

Quels sont les réflexes qui font vraiment la différence ?

Préparer sa session, c’est un peu comme faire une liste de courses : on se croit prêt, mais il manque souvent un truc. Avec un regard en plus sur les bulletins météo, la zone de ride adaptée à notre niveau du jour, la discussion avec les autres riders pour repérer les pièges cachés… ça sent la sagesse ! Nous, on pratique la règle du “jamais seul sans prévenir”, et vous ? Un échange avec la capitainerie en arrivant, ça vous est déjà servi de joker ?

Et côté comportements, qu’appliquez-vous en toute circonstance ?

Sur l’eau, on apprend à lire les signes de fatigue, à ne pas céder à la pression ou à l’envie de “montrer” qu’on gère. L’ambiance du spot, c’est souvent bienveillant : on conseille, on aide, on partage nos astuces. La solidarité rider, c’est aussi ça, non ? On avoue avoir souvent proposé un coup de main ou accepté un conseil avisé… et ça change tout, surtout quand le vent décide de corser la partie !

Petit pense-bête des réflexes selon la situation (vous cochez combien de cases ?)

On a tous connu un jour un moment où un simple détail a vraiment tout changé. Vous retrouvez-vous dans certaines de ces situations ? Nous, on a déjà validé toute la liste en une seule saison…

Chez nous, la glisse ne rime jamais avec imprudence ! Si vous aviez un conseil sécurité à ajouter à notre liste, ce serait lequel ? On échange toutes nos astuces pour que chaque session soit une fête, et que le wing foil reste l’aventure la plus fun à partager, toutes générations confondues !